La révolution de l'impression numérique
L'apparition des premières imprimantes laser (HP, CANON, APPLE) dans les années 80 et leur démocratisation rapide a permis à de nombreux professionnels, outre les impressions papier de lettres, rapports, synthèses, etc., de réaliser des produits de plus en plus sophistiqués. Sont apparus assez rapidement des films transparents pour les rétro-projecteurs, des papiers de différentes couleurs, et des planches d'étiquettes. Celles-çi étant destinées à marquer les dossiers, disquettes et autres boîtes bien utiles dans les bureaux. Les imprimantes ne sortaient que du noir et blanc et l'on se prenait à rêver (comme pour la télévision vingt ans auparavant) à la possibilité un jour de pouvoir imprimer en couleur. Ce fut bientôt le cas avec les toutes premières technologies qui arrivèrent sur le marché. La sublimation thermique, d'une qualité remarquable souffrait d'un coût de revient exorbitant et d'une lenteur rédibitoire. Le transfert thermique eu son heure de gloire mais avait du mal à accélérer. Puis arrivèrent un beau jour les premières machines laser couleur de Canon sur le marché de le photocopie. Gràce à une forte pression des professionnels, celles-ci furent rapidement équipées de RIP leur permettant de produire des imprimés en couleur avec précision et finesse. Elle furent assez vite suivies de machines bureautiques, plus abordables et moins coûteuses en entretien. De manière à peu près simultanée, les imprimantes à jet d'encre arrivèrent sur le marché avec des prix compétitifs, même si la qualité d'impression laissait au début à désirer. Finalement ces deux dernières technologies, laser (à LED désormais) et jet d'encre sont celles qui tiennent encore maintenant le haut du pavé et se disputent les différents marchés. Chacune à ses avantages et ses inconvénients que nous allons aborder.
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